Je joue avec les lettres, avec les mots. Bienvenue dans mon univers !
Sur les lignes de l'amer, la solitude me pèse ; seul en compagnie de ce qui reste de mon équipage, sur des mers, sur des océans. La solitude me pèse douloureusement sur ce vieux gréement, vieil outil qui a combattu avec autant de ferveur que moi sur toutes...
Lire la suiteDans les ténèbres qui m'enserrent, je me revoie faire un pied de nez à ces traîtres envoyés du diable, la douleur terrible se répand au tréfonds de mon âme. Je suis pieds et poings liés. J'attends la sentence, couché dans ma cellule. Mais quelle sera...
Lire la suiteCouché sur le ventre, les yeux étonnés, surpris, enivrés par cette aventure. Je ne crois pas un instant que l'on puisse faire ceci. Je souris, je ris, je tremble, je frissonne, je voyage et me mêle aux odeurs de la route, de la forêt, de la mer. A cet...
Lire la suiteDevrais je dénuder mes mots pour faire apparaître un signe, Que le bonheur ne suffit qu'une seule fois, Pour laisser aux autres une vision de soi. Et si les mots ne suffisaient plus, Serions nous isolés à ce point, sans langage aucun. Devrais je dénuder...
Lire la suiteJ'ai fait le serment d'accomplir mon devoir de navigateur avec courage et fierté. J'observe avec insistance tout mon équipage, ces hommes d'une bonté extrême, pour qui le bateau est leur « chez soi », mon équipage, ma famille. J'ai vogué sur des mers...
Lire la suiteLe grenier, un monde de découvertes, une caverne d'Ali Baba, une mystérieux endroit où les histoires s'écrivent en lettres de poussières et d'affabulations diverses et mal intentionnées. Le cachet de la poste faisant foi, pauvre de moi, cette lettre d'un...
Lire la suitePiotr, enfin, je retrouvais cet ami. Les larmes m'inondèrent et je tombai en sanglots dans ses bras vigoureux. Islom, derrière nous, ne fit aucun commentaires. Il nous laissa nous remémorer nos souvenirs respectifs et nous nous en allèrent tous trois...
Lire la suiteVague et ombrageux, le ciel ne me disait rien qui vaille en ce début de printemps. Le navire hoquetait ostensiblement sur le fleuve, un de ces navires qui n'a plus d'âge, malmené par les embruns, bousculé par les vent d'ouest. Vague à l'âme, vague à larmes,...
Lire la suiteLe bleu et jaune du Mémorium se mariaient délicatement à l'entrée de cette ville magique du continent russe. Etrangement, le silence se fit pesant lors de cette arrivée, Islom les yeux grands ouverts sur les tours se faisait à son tour silencieux. Je...
Lire la suiteDoit-on ? Doit-on imaginer la suite ? Faire semblant pour faire plus vrai, Doit-on supposer l'insupposable, Sublimer l'invraisemblable. Doit-on faire pour ne point défaire, Faire express pour faire plus rapide, Doit-on danser sous la pluie, Sans se satisfaire...
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